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La non édition du 15 novembre 2015
Publié : 15 nov. 2015, 19:55
par Pepia
La Gazette est aussi en berne cette semaine, tout ce qui aurait pu être écrit aurait paru déplacé.
A la semaine prochaine.
Re: La non édition du 15 novembre 2015
Publié : 15 nov. 2015, 19:57
par Wolion
Ca me parait un juste choix.
Re: La non édition du 15 novembre 2015
Publié : 15 nov. 2015, 23:32
par Topalavakkh
Monde de merde
Re: La non édition du 15 novembre 2015
Publié : 16 nov. 2015, 08:19
par Helgrind
Wolion a écrit :Ca me parait un juste choix.
Oui, tout à fait.
Une grosse pensée pour nos Plumes parisiennes ce matin : pas évident d'aller taffer dans la capitale, déjà que pour nous dans nos contrées, la tête n'y est pas....
Re: La non édition du 15 novembre 2015
Publié : 16 nov. 2015, 08:41
par Sombrefléau
Je viens d'arriver au boulot et l'ambiance est vraiment pesante, c'est comme une énorme gueule de bois. Le trajet dans paris est un peu stressant, on se pose des questions. On parle de tout ça pendant le café et on essaye de je sais pas trop quoi mais on essaye.
Re: La non édition du 15 novembre 2015
Publié : 16 nov. 2015, 09:04
par Jirobien
Je soutiens cette décision. Courage à tous.
Re: La non édition du 15 novembre 2015
Publié : 16 nov. 2015, 09:12
par Oddaline
courage à vous.
Re: La non édition du 15 novembre 2015
Publié : 16 nov. 2015, 09:23
par Limortele
Courage à nos voisins français. Nous sommes de tout coeur avec vous.
Re: La non édition du 15 novembre 2015
Publié : 16 nov. 2015, 09:23
par Colne
Ça sourit pas trop au bureau ce matin...
Gare du Nord et RER B presque déserts ce matin. Les gens prennent apparemment leur bagnole pour aller bosser.
Pour info, la Gare du Nord est la plus grande gare d'Europe... pas un flic, pas un militaire... enfin, bref, m'en tape, c'est pas ça qui m'empêche d'aller au boulot.
Bonne journée, tout le monde.
Re: La non édition du 15 novembre 2015
Publié : 16 nov. 2015, 09:30
par Helgrind
Chez moi, donc quasiment à la frontière italienne par contre, contrôle de police non seulement à la frontière, mais aussi aux premières sorties d'autoroute entre cette frontière et le premier péage français.
Tous les véhicules utilitaires sont systématiquement arrêtés, et chaque chauffeur obligé d'ouvrir son véhicule pour inspection.